Quel est le symbole du 49,3 ? Celui d’un passage en force antidémocratique d’une loi dont aucun travailleur ne veut ou quelque chose d’autre ? Nous tendons au SUB à dire quelque chose d’autre.

Revoir le reportage d’Elise Lucet sur les travailleurs détachés arnaqués
Passé le style faussement naïf pour enrober le propos et le rendre attrayant pour le grand public ainsi que la mise en scène créant un personnage de journaliste à la tintin, ce reportage se laisse regarder. Ce n’est pas (...)

CUBE2020, le petit geste EDF qui ne fera pas oublier son grand lâchage de NEXCIS.

Nexcis vient de mettre au point le BIPV, le panneau solaire dans les vitres de nos fenêtres après 6 ans de recherche. En récompense la boite est liquidée par EDF dans le silence de l’état. Ou comment sacrifier une innovation écologique sur l’autel du profit dans une société de greenwashing.

L’entreprise Bouygues a été condamné dans l’affaire de l’EPR. Tout en étant reconnue coupable, elle écope d’une amende ridicule pour éviter les licenciements en cas d’interdiction d’exercer sur le territoire.

Le parquet du tribunal correctionnel de Cherbourg a, le 13 mars dernier, requis une amende de 150 000 € contre Bouygues accusé d’avoir joué un « rôle central » dans une affaire de travail dissimulé (2008/2012) de centaines d’étrangers sur le chantier du réacteur nucléaire de Flamanville.

Bouygues TP prétend alors avoir dû, dans l’urgence, et par défaut de trouver du personnel localement, faire appel à l’emploi de salariés détachés.

La playmate de la page 3 du SUN, c’est donc Dodo la saumure et DSK en version française. Alors que s’ouvre le procès de de "l’affaire du Carlton", la vague médiatique s’intéresse essentiellement à l’affaire de mœurs, normal elle est au cœur de la procédure. Retour sur "l’affaire du Carlton".

Le « moniteur patronal » nous informe que …les dirigeants du groupe Eiffage ne connaîtront pas la crise : « Des résultats en hausse, une trésorerie qui se tient, un carnet de commandes bien rempli… Au premier semestre, Eiffage se maintient de belle manière dans un contexte économique national (...)

Le marronnier de l’été était l’invasion des plages privées sur le littoral français. A la mer, maintenant, il faut payer son transat et parasol entre 14 et 20€ sans compter les consommation par jour. Inaccessible aux ouvriers.

L‘Agence centrale des organismes de sécurité sociale (Acoss), annonce que 13,7% des 2 605 entreprises du BTP contrôlées en france en 2013, avaient recours au travail dissimulé, soit une entreprise sur 7. L’Ile-de-France est en tête de ce palmarès avec 24,3% soit un patron sur quatre.